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Nos propositions pour réduire la dépense publique de 20 milliards d’euros par an

Dernière mise à jour : 12 janv. 2020


Augmenter progressivement le temps de travail dans la fonction publique et diminuer les effectifs en dehors du régalien qu’il faut renforcer et de la santé qu’il faut sanctuariser (2,4 milliards d’euros d’économies la première année, 10,6 milliards d’euros par an à terme dont la moitié pourrait être consacrée à des revalorisations salariales au mérite), avec suppression de la surrémunération des temps partiels (800 millions d’euros d’économies par an) et instauration de trois jours de carence comme pour les salariés du privé (400 millions d’économies par an).

Baisser le train de vie de l’État en rationalisant le parc immobilier public (1 milliard d’euros d’économies par an), en optimisant les achats publics (500 millions d’euros d’économies par an), en accélérant la digitalisation des administrations (500 millions d’euros d’économies par an) et en vendant la moitié du parc automobile administratif (500 millions d’euros d’économies par an).

Réformer les retraites en indexant l’âge légal de départ à la retraite sur les gains d’espérance de vie, en alignant le mode de calcul du public sur le privé et en supprimant les régimes spéciaux (5 milliards par an à terme) alors que la réforme des retraites du gouvernement est pensée « à enveloppe constante ».

Améliorer la prévention santé (300 millions d’euros d’économies par an), développer les parcours de soin et l’e-santé (1 milliard d’euros d’économies la première année et 5 milliards d’euros par an à terme).

Sortir de l’assistanat et valoriser le travail par une aide sociale unique (5 milliards d’euros d’économies par an sur les seuls coûts de gestion selon l’Ifrap). Il existe aujourd’hui 47 aides sous conditions de ressources dont le coût avoisine 100 milliards d’euros. Cette sociale unique personnalisée sera plafonnée à 75% du SMIC (en dehors de l’allocation adulte handicapé) pour que le travail et l’effort rapportent toujours plus que l’assistanat.

Responsabiliser les bénéficiaires de la santé gratuite (CMU-C) par une participation forfaitaire d’un euro par acte (quelque 300 millions d’euros d’économies par an), durcir et systématiser les sanctions pour les chômeurs qui refusent de chercher un emploi (1 milliard d’euros d’économies par an) et réformer le régime des intermittents en luttant contre les abus (500 millions d’euros d’économies par an).

Lutter implacablement contre les fraudes fiscale et sociale (1 milliard d’euros dès la première année), notamment la fraude documentaire des individus nés à l’étranger. Nous proposons aussi de suspendre l’accès aux prestations sociales pour les fraudeurs sociaux et de suspendre l’accès aux exonérations d’impôts pour les fraudeurs fiscaux. Il faut aussi doubler l’amende pour fraude aux prestations sociales à 10 000 euros.

Supprimer l’Aide médicale d’État (AME) et la remplacer par une Aide médicale d’urgence (AMU) pour ne prendre en charge que les soins d’urgence et les maladies contagieuses des immigrés illégaux (800 millions d’euros d’économies par an) et conditionner à trois ans de cotisations l’accès des étrangers aux prestations sociales non contributives : RSA, ASPA, allocations logement et allocations familiales… (2 milliards d’euros d’économies par an).

Réduire le financement public des syndicats pour rejoindre la moyenne européenne (1 milliard d’euros d’économies par an).

2. Nos propositions pour le pouvoir d’achat des familles, des classes moyennes et des retraités

• Alors que notre système fiscal est illisible et imprévisible (350 impôts et taxes, des niches fiscales partout), il faut engager sa remise à plat : supprimer des taxes, baisser les impôts, réduire le nombre de tranches.

Annuler la hausse de la CSG pour tous les retraités sans exception.

Revaloriser immédiatement le niveau de toutes les pensions de retraite.

Rétablir les allocations familiales pour tous et relever le plafond du quotient familial à 3 000 €.

 
 
 

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